La consommation du poisson : quels bienfaits sur l’organisme ?
Invité de choix de la plupart de nos menus maison, resto et autres, le poisson occupe sans doute une place précieuse dans notre alimentation. Que ce soient les enfants, les adultes ou mêmes les personnes âgées, chacun trouve son compte de plaisir dans la grande diversité de plats à base de poisson.
Les poissons, qui sont-ils ?
Les poissons sont des animaux vertébrés aquatiques qui possèdent des nageoires et qui respirent par des branchies. Ils constituent un vaste groupe hétérogène, dont plusieurs espèces partagent néanmoins des traits de ressemblance. Par exemple, tout le monde connaît les célèbres conserves de sardines, mais peu de personnes peuvent expliquer les différences avec les anchois. Pour en savoir plus, suivez ce lien http://rotary1820.org/. Les poissons sont ovipares dans leur majorité (mais pas tous), c’est-à-dire qu’ils pondent des œufs. Les mâles, de leur sperme, fécondent les ovules en dehors du corps de la femelle. Les qualités nutritionnelles du poisson pour l’homme (mais aussi pour les animaux) sont nombreuses et expliquent le grand intérêt économique des activités de pêche et d’aquaculture un peu partout dans le monde.
Les bienfaits nutritionnels de la consommation du poisson
Les protéines sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Ils servent à construire, mais aussi à entretenir les cellules, et leur dégradation chimique fournit de l’énergie. Le poisson représente la plus importante source de protéines animales des êtres humains. L’huile de foie de poisson est une excellente source de vitamine D. Le poisson est également la meilleure source d’acides gras oméga-3. Ces acides gras sont essentiels au développement et bon fonctionnement du cerveau et de la rétine, particulièrement chez les enfants. Utiles au bon déroulement d’une grossesse, ils ont une action préventive contre les maladies cardiovasculaires et présentent des propriétés anti-inflammatoires. On recommande, pour les adultes, la consommation quotidienne de 0,79 g de protéines par kg de poids. En ce qui concerne les enfants et les bébés, il convient respectivement de doubler et de tripler ces doses, en raison de leur croissance rapide.