Les vacances scolaires de février : un véritable flou artistique
C’est le grand débat du moment depuis l’entrée en mois de février, car avec la pandémie du COVID19, les apprenants voient leurs sorts incertains. Le gouvernement dans l’unique but de protéger sa population, s’abstient de se prononcer quant à la réouverture des centres d’éducations. Il s’agira ici de se prononcer sur l’état émotionnel des citoyens français.
De l’incertitude incessante
Depuis le verdict sur la prolongation du confinement, les populations ont intégré dans leurs subconscients, l’absence de vacance en bord de plage ou en virée, consultez le lien de notre page pour plus de détails. Pour d’autres il ne s’agit pas là que d’une décision temporaire, parce que plus il y avait de cas de malade, moins ils avaient de chance d’espérer passer de bonnes vacances, comme autrefois. De ce fait, leurs bien être émotionnel, que social dépend assez de la diminution du taux de cas de covid19. Déjà deux situations de re confinement, qu’en est-il des vacances scolaires qui sont l’unique moment pour les enfants de déstresser, afin de pouvoir affronter les années suivantes.
La prise de décision assez difficile
Le système éducatif étant différé selon les catégories d’apprenants, alors il arrive que pour d’autres, c’est déjà les vacances, tandis que pour d’autres ils devront patienter un bon moment. Il existe cependant certaines contrées où ils ont la possibilité de s’y rendre pour y passer un moment de tranquillité, mais il a un problème qui se pose dans ce cas, et c’est le risque que le gouvernement restreint les déplacements, parfois pour des raisons légitimes mais parfois pour aucune raison valable. Les parents qui se soucient de leurs progénitures, sont de ce fait les plus inquiets, car d’énormes et difficiles prises de décision leurs incombent notamment : comment assurer la garde des enfants ? Est-ce qu’il faut faire plus de provisions à la maison, si oui est ce que le budget initialement prévu pourra le permettre ?
Autant de questions qui laissent perplexe plus d’un et il serait temps qu’une solution définitive soit apportée.